Bonjour,
Qui je suis ? C’est ce que je veux définir en écrivant un journal, mon journal. Pourquoi vouloir écrire un journal ? « Pourquoi pas » me semble une réponse trop lâche, ou du moins pas valable ; si j’écris, c’est pour mon souvenir, pour me rappeler dans plusieurs d’où je viens et les anecdotes de ma vie, mais c’est aussi pour m’alléger ma conscience, car à partir d’aujourd’hui, je ne connais en rien mon destin.
Commençons par le début, je suis né dans le village elfe, alors que l’aube et la rosé arrivées, le couple Harlos, mes parents, voyaient leur premier, et qui sera leur unique, fils.
Je n’étais point un bébé extraordinaire, juste un petit bonhomme sans cheveux, et avec de grandes oreilles comme tout les elfes d’ailleurs. Mes parents me nommèrent Raion, alliance du fait que je sois né avec le premier rayon de cette journée, et du Lion. J’aime beaucoup mon prénom car si on rajoute un S on obtient raison, c’est sur ce terme que je base mes raisonnements.
Dés que je fus en age de compréhension, mes parents m’expliquerez pourquoi le Lion, il voulait que je deviennent fort, courageux et tout les truc de héros qu’on connais. Mais moi je trouve ça ennuyant les grandes aventures, les histoires d’homme courageux, qui ont combattu vaillamment jusqu'à la fin. Si je devais ravoir la discussion sur le lion a mes parents je leur demanderai s’ils sont au courant que c’est la lionne qui chasse alors que le lion ne fait que marquer son territoire et dormir, ça j’aime ça : dormir.
En grandissant je suis devenu un beau, grand, fort, et courageux elfe… et non il faut pas rêver, je suis rester le feignant que j’étais. J’ai eu en grandissant un corps relativement fin, je ne me suis pas métamorphosé en Lion, je n’ai même pas de crinier ni de pelage doré, j’ai les cheveux gris blanc, et une marque de même teinte sur le front. Cependant je me suis fait tatoue une tête de lion attaquant sur le thorax, et des pattes dont les griffes finissent au commencement des phalanges de mes mains. Je me suis fais ce tatouages sur un coup de tête avec mes parents et leur discussion sur le lion et sa force et ses attributs, son symbole ; mais je ne regrette en rien c’est moi, j’ai d’ailleurs fini pas bien m’entendre avec mes parents une fois la crise de la cinquantaine passé.
Je me suis, comme à la volonté de mes parents, jeté dans la manipulation des armes. Mon mentor s’appelait Léolas, il me présenta trois armes, la première, une dague, j’était rapide, mais question puissance des coups et précisions, c’était pas ça, il m’as donc fait essayer un arc, sur le coup j’ai adoré cette arme et son concept, se battre a distance sans recevoir de coup, mais bon ma portée n’était pas très élevée et ma précision n’était pas vraiment, comment dire… parfaite. Il m’a donc présenté une autre arme, c’était un bâton, quand il me la montré j’ai rigolais devant l’aspect de ce bout de bois mais quand je l’ai saisie, j’ai senti une vague, je sais pas trop comment le décrire, monter en moi, je me suis senti fort. Et alors là, si j’avais aimé l’arc j’ai senti que j’allais adorer ce bout de bois. Il m’expliqua comment l’utiliser, c’était lié a une formule, il m’en appris une basic, mais là je vis que le résultat était bien plus impressionnant qu’avec l’arc et bien plus précis. C’était la magie, mon mentor m’appris que la force de la magie était, plus ou moins grande en fonction de l’arme, et il me dit que celle ci était la moins bonne qualité que l’on pouvait acheter.
Mon mentor m’enseigna donc la magie, il m’a dit que lorsque j’aurai fini mon apprentissage je deviendrai un chanteur de sorts, et qu’ensuite en réessayera la dague et l’arc. Je passai de longues années avec lui, apprenant les concepts de bases et la symbiose avec mon arme. Avant de s’en aller une fois mon entraînement fini, il me raconta que je pouvais m’améliorer en quittant mon village, et que le monde était vaste.
Mais une fois mon enseignement fini, je passa nombre de temps à m’amuser à jouer avec mes sorts en tuant des petites créatures, je me plaisais ici et ne voulais pas le quitter. Mais un jour un elfe qui avait vécu hors du pays elfique arriva au village, et nous compta une histoire qui se racontait dans d’autres régions, il nous expliqua que c’était un dieu qui avait raconté cette histoire et que nos prêtres étaient dans le faux. Il nous raconta l’histoire de trois royaume Elmore, Aden et Gracia, de la trêve fragile qui existait, et pour finir les derniers mots que le dieux prononça : « Mon histoire se termine pour l'instant. Mais peut-être va-t-elle se poursuivre avec le temps? Qui sait, peut-être qu'un jour vos noms apparaîtront dans mon histoire? ». je n’était alors âgé que de 122 ans, et je décida de voyage hors de mon village voir ce qu’il y avait a faire et tuer des bestioles un peu plus fortes, en objectif primaire d’éviter les ennuis et de dormir souvent, parce que j’aime pas quand ça s’annonce ennuyeux. La première chose dont je m’informais une fois sortie de mon village, c’était du prix de nouvelles armes et aussi une question dont on parlait dans mon village sur des animaux domestiques. Je rêvais d’en avoir, ça me plaisait d’en élever. Et ce qui arrive maintenant c’est que j’écris ses mots, j’écrirai la suite plus tard.